mercredi 24 octobre 2012

Premiers tests

Six annonceurs dont Red Bull, mais ces derniers ne font rien comme tout le monde, pour Epub&pub Lombardie et Vénitie. Le titre n'est pas définitif, la couverture non plus.
Un diaporama, 5 images 1/2 écran, 5 bandeaux de rappels de 2 à 3 cm de haut, soit un douzaine de pages avec pub sur 275.
Premiers tests auprès des bibliothécaires du quartier. Un apriori défavorable eu égard au matraquage de la télé.
Un a posteriori favorable. Elles ne savaient plus très bien si l'on était dans le texte, en dehors, si elles étaient face à des illustrations, des pubs.
Confusion = Adéquation. 

C'est assez encourageant. Il va falloir vérifier comment la loi protège le lecteur.
Sur internet c'est pas très clair ces pop-up qui vous arrive en pleine gueule.

lundi 22 octobre 2012

Quels annonceurs pour le livre numérique ?

Les grands parlent aux grands et les petits aux petits. C'est très con mais c'est comme ça.
Alors quand je demande à Alfa Roméo d'annoncer dans un ouvrage sur Léonard  à Milan, pas de réponse. Pourtant il y a matière. Le logo de la firme etc, etc, etc..., pourtant des gens chez Fiat trouvent cela intéressant, non novateur, pardon.
Alors quand je demande à un bronzier d'annoncer dans le même ouvrage, il n'hésite pas. Il y a matière et le type à bien compris que s'adosser à Léonard ne peut nuire, surtout si adéquation il y a.
Alors à J moins quelques J que dire, sans trop en dire.
Phase 1, du contenu il faut.
Phase 2 réfléchir à une possible adéquation entre l'annonceur et Léonard, et je le répète il y a matière. Exemple Red Bull. Avec eux les choses sont un peu différentes. Disons qu'ils ont tout compris. Leur agence fournit gratuitement images et vidéos. Il suffit d'ajouter le Copy Right.
Alors l'idée à germer de mixer les rêves du Vinci  avec celui réalisé par Baumgartner et de réaliser un diaporama.
Phase 3 construire le epub, et l'iBook  avec les photos, bandeaux des annonceurs et le diaporama.
A suivre.






dimanche 14 octobre 2012

Livres et réclames.

Le mois d'octobre sera peut-être à marquer d'une pierre blanche :
-  Nouvel iPad, mieux adapter à la mobilité à une lecture nomade.
- Amazon lance son offre de prêts aux abonnés premium et la disponibilité de sa dernière liseuse. Ce n'est pas tant les annonces qu'un traitement égalitaire des filiales Europe qui importe. La GB n'est plus privilégiée.....pour l'instant.
- Les Guides MAF se lancent dans l'édition sponsorisée.
De la réclame, des pubs, des annonceurs, du slogan, de la com enfin tout ce qui donne des boutons à l'édition, aux auteurs.
Pourquoi ?
Si l'on gagne sa vie sans frayer avec le diable, la réponse est évidente, mais pour les autres, tous les damnés du roman, du guide, de la poésie, la nouvelle, le théâtre ?
Lire les  Faust, de Goethe, de Marlow, et se morfondre devant un écran blanc et les rankings, sans parler du banquier ?
Il existe une autre approche, elle n'est pas neuve, mais novatrice. Les plus grands y ont recours de Dickens à Toni Morrison. Les éditeurs en rêvent mais n'osent le proposer aux auteurs en attente d'a-valoir, de prix littéraires, de renommée, en attente de, toujours en attente de.
Les plumes de la presse y sont habitués, même s'ils snobent les services de drague aux annonceurs, de toutes façons ils snobent tout,  les journalistes, et franchement nous ne sommes ni meilleurs, ni pires au regard des mots, points lignes et autres verbes, ni meilleurs ni pires au regard d'un lectorat sevrer par le web du paiement.
Le livre numérique souffre de sa lignée au web, de sa connotation au fichier, de ses premiers pas malheureux. Demain on lit gratis, seulement demain c'est aujourd'hui et pour vivre,  continuer d'écrire, de chercher il faut des sous. C'est simple et très compliqué.