samedi 9 juillet 2011

Rabelais à la télé

Je suis resté jusqu'à la fin hier soir devant mon téléviseur pour en savoir un peu sur Rabelais.
J'ai forcément lu un jour un extrait dans le Lagarde et Michard mais guère plus. Honte sur moi.
Alors sans suivre le commentaire très con de Télérama (c'est en cherchant des infos sur internet que je suis tombé dessus. Ils sont tous comme ça dans ce canard ?) j'ai regardé tout simplement la vie d'un homme dont on ne parle pas assez souvent, dont on ne lit plus les oeuvres dont on ne souligne pas l'importance.
Tout le monde pense le connaître, et bien ce genre de biographie à au moins le mérite de nous remettre face à notre ignorance?
Pourquoi cette programmation stupide, un jour de vacances d'un seul trait. Il fallait s'en débarrassé ?

D'autres aussi

La publicité implantée dans les livres n’est pas forcément une mauvaise chose. Dans un monde capitaliste, difficile en effet de s’en passer et tous les grands journaux n’en ont jamais fait l’économie.
C'est une partie d'une interview traduite par So book de Bob Stein, un monsieur dont je ne connais pas vraiment l'influence. Mais bon si un journal lui pose des questions on peut estimer que ;-)
Pour le moment le propos reste plutôt évasif, on y pense sans vraiment y réfléchir. Quand les choses prendront une certaine ampleur, on verra.
Attendons.

vendredi 8 juillet 2011

iAd a du mal à convaincre.

Pour faire de la Pub avec iAd, la régie spécifique au monde iPhone, iPad etc lancée par Apple, il fallait mettre sur la table un million de dollars. Visiblement c'est trop. Si quelques firmes se sont laissées séduire pour tester, elles ne sont pas assez nombreuses.
Devant cet échec , les prix baissent.
Il faut aujourd'hui disposer de 500 000 $ et peut-être 300 000 pour se lancer dans la pub sur mobiles d'après le WSJ.
C'est bcp moins mais il reste à déterminer la puissance du support, son efficacité, et là on ne sait rien.
Quel rapport avec l'Epub ? Si l'annonceur ou le public n'est pas au RDV de la pub sur mobiles, il ne le sera certainement pas non plus sur le segment du livre sur mobile.
Il nous manque, pour enfoncer le clou ou contrarier ce jugement péremptoire les chiffres du Kindle sponsorisé.
On va attendre.